Once upon a time...
WISSANT
La pratique du windsurf sur le littoral de la mer du nord, 7°C en hiver et 19 en été, ancre profondément le style de vie souhaité.
En toute saison, avec malgré tout le bon équipement, elle fonde les prémisses de cette future entreprise que sera UVEA.
L’équipement est primordial. Sans demi-mesure, la qualité prime pour le bien être et pour les performances.
Mais nous sommes en 1980… le rêve, un matériel Gaastra ou Neilpryde.
Manly Australie 1992.
À l’origine, une année de soleil et de perfectionnement au surf et quelques cours d’australien. Au final, lèvre fendue, 6 points de sutures, dent déracinée et coups de soleil à répétition. Petits boulots et gros bobos mais des images pleins la tête. Un mode de vie qui s’inscrit au plus profond de son être et une harmonie voire même osmose entre l’élément et soi-même.
Au bout d’un an, seule certitude, la reconnaissance immédiate des touristes de passages. Sur les plages, ils sont sans protection solaire aucune, alors que tous les autochtones sont protégés d’un vêtement, d’une paire de lunette et d’une casquette. Le retour en France laisse perplexe.
Arrive 2001. Naissance du premier bout de chou, ou plus exactement de la premiere rose ; et cette envie inexorable de lui fournir le meilleur concernant la protection solaire. Flash-back sur les années passées et synthèse des produits actuels : un seul constat, il n’existe pas de produit vraiment efficace pour les tout petits.
Que vous soyez amateur ou professionnel, tout type de vêtement ou d'équipement sera à votre disposition ; à grand renfort de marketing, certes, mais offrant des caractéristiques intrinsèques réelles pour des performances en terme de confort et de bien être. Mais rien, absolument rien, n'existe pour les bébés.
Il faut « se jeter a l'eau « et créer un produit spécifique qui peut allie ces qualités et un design propre à la puériculture. Naissance d'UVEA
Rien est simple. Tout d’abord la coupe qui doit offrir un véritable confort. Mais pourquoi et pour qui. Trop chère, et sans nécessité apparente, mais pourtant s’adresse à une clientèle qui requière une attention toute particulière. Ensuite, la matière et la confection qui, toujours pour des raisons de coût, sont réalisées en Asie, mais trop souvent au détriment de la qualité, avec au final le même produit seul l’étiquette change. Non ; la matière devra servir l'enfant et apporter sans conteste des plus produits. Le
choix européen s'impose.
Enfin le design, un peu trop fade pour ce qui existe sur le marché, et qui ne dépasse la sainte règle du rose pour les fille et bleu pour le garçon. Une uniformité et un trop banale qui détruit l’esprit de liberté du Beach Wear. Souvenir d'un discours d'un PDG d'une marque haut de gamme qui s'offusquait de voir un design différent pour la layette et le sentiment de faire disparaître les souvenirs de notre enfance.